La jolie poupée blonde déçoit !
La pochette du dernier album de Diana Krall fait tout pour nous attirer : la belle, allongée nonchalamment sur un canapé de velours rouge, en dessous chics.
Hélas, passée la pochette, le contenu musical de Glad Rag Doll, un hommage appuyé à la période des années 30, ne décolle jamais. Entourée d’une équipe de solides musiciens, Diana Krall se contente de produire des morceaux, certes de bonne facture, mais sans entrain, ni éclat. La « punition » dure longtemps, 13 titres étant offerts à nos esgourdes.
Bien sûr, la voix suave est toujours là, mais l’album est bien trop lisse et les ambiances musicales trop semblables pour éveiller chez l’auditeur l’envie irrépressible de se lancer dans une nouvelle écoute.
L’année 2013 démarre donc mal, après le rattage de Peter Cincotti, voici l’album décevant de Diana Krall. Reste à cette dernière à nous convaincre, sur scène, qu’elle a eu raison de se lancer dans cette entreprise.
Guillaume.
Publié le 16 janvier 2013, dans Chroniques, et tagué chanteuse, Diana Krall, Glad Rag Doll, jazz. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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