Torsten Goods, à la croisée des cultures….
Torsten Goods… cet artiste, jusqu’alors, m’était totalement inconnu. Renseignements pris, le bonhomme est un chanteur-guitariste-compositeur allemand, né à l’orée des années 80.
Après un apprentissage et des gammes auprès de Bireli Lagrène, Mike Stern (excusez du peu !!! ), il revendique une influence musicale tirée de Stevie Wonder, George Benson ou… Freddie Mercury. Belle palette !
Depuis 2001, le jeune musicien au look de jeune premier (voir pochette de son nouvel album), a déjà 5 disques à son actif. Le 6ème, Love comes to town, est un subtil mélange de toutes ses influences . Unlucky like me qui renvoie à Stevie Wonder et à Toto, Right here waiting, moment tendre de l’album (une reprise du titre de Richard Marx), Someone like you ou encore le standard jazz They can’t take that away from me, ici interprété en duo avec Viktoria Tolstoy, démontrent que le jeune chanteur-guitariste allemand est à l’aise en toutes circonstances. Outre la chanteuse suédoise, il s’est adjoint les services de pointures comme le trompettiste Till Brönner, le tromboniste Nils Landgren.
Sans oublier When loves come to town, qui, certes de qualité, ne possède pas la magie de la version enregistrée par U2 et BB. King, figurant sur l’album de la bande à Bono « Rattle and Hum », sorti en 1988.
Au final, le résultat est certes agréable à écouter, mais manquant parfois de fougue, de punch, de vérité, choses que réclament le blues, la soul, le rhythm’n’ blues.
Je vous laisse donc juge…
Guillaume.
Publié le 21 octobre 2013, dans Chroniques, et tagué George Benson, guitariste chanteur Allemagne, Rhythm and blues, soul, Stevie Wonder, Torsten Goods. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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