Ebony Bones : entre admiration et déception
Voici le second album d’Ebony Bones, jeune chanteuse-compositrice britannique. L’album est très court, une quarantaine de minute. Comme dans son premier CD, on remarque la présence marquée des percussions. Le premier titre, nous met tout de suite dans une ambiance mystérieuse et intrigante. Je pense que c’est un album à écouter dans son ensemble, car il est pensé comme une seule œuvre. Il plaira aux amateurs de musique électronique par son originalité. C’est un album qui sort de l’ordinaire et qui ne laisse pas indifférent.
Elle participa récemment au festival des Aventuriers et je suis allée la voir à ce moment là. Si l’album Behold, a pale horse, m’a subjugué, j’ai un avis plus mitigé sur sa performance lors du concert donné à Fontenay le 19 décembre 2013.
Le concert d’Ebony Bones a été très court. Il y avait une mise en scène intéressante. Sur scène, elle et ses musiciens étaient en blanc, ses deux choristes avaient des masques de chevaux. C’était un concert plein d’énergie. Cependant, il y avait peu de monde dans la salle, ce qui je pense, a joué sur la durée du concert. Si le CD est tout en finesse, le concert est beaucoup plus dans l’énergie et dans le show. Je n’ai pas retrouvé l’émotion que l’album m’a apportée.
Alice
Publié le 27 décembre 2013, dans Chroniques, et tagué électro, rock anglais. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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