L’homme errant


C’est sans surprise mais toujours avec plaisir que l’on retrouve notre ménestrel des temps modernes Ian Anderson, chanteur, compositeur et flûtiste de Jethro Tull.

Avec son nouvel album Homo erraticus, Ian Anderson reprend les mêmes ingrédients : un album concept où Gerald Bostock (déjà utilisé dans Thick As A Brick 2 d’il y a 2 ans), examine des événements clés de l’histoire de la Grande-Bretagne et propose quelques prophéties pour les décennies à venir.

Entre folk celtique, musique moyenâgeuse et hard rock, Ian Anderson reste fidèle à son style si reconnaissable.

Certains morceaux s’essouflent un peu mais j’ai particulièrement aimé After these wars et Puer ferox adventus.

A 67 ans, après 47 années de carrière, Ian Anderson arrive toujours à nous emmener dans son monde entraînant et joyeux si caractéristique, et on s’y laisse guider avec bonheur.

Michèle

Publié le 20 juin 2014, dans Chroniques, et tagué , , , . Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.

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